08 avril 2007

C'est un beau roman, c'est une belle histoire

De toute évidence, ce post ne vous intéressera pas puisque je vais y raconter ... mes vacances à moi.
Je vais me contenter d'un résumé, sinon ça va me prendre 2 semaines à écrire.

Chapitre 1 : et Dieu créa l'homme

Tout commença un samedi après-midi. Tout s'enchaina très vite. Avec mes pieds, je suis allé à la gare routière, d'où un bus m'attendai, direction Liverpool, puis l'aéroport John Lenon (me semble-t-il) puis décollage, atterrissage, rer. Là tout va encore plus vite. Il est minuit. Téléphone JD qui doit m'héberger. répondeur. JDCP™. Téléphone Sovan. Batterie faible. Répondeur. Téléphone Nata, Téléphone Aline. Répondeur, batterie trop faible.
C'est à ce moment là qu'on se rend compte qu'il fait froid à Evry, à minuit :D
On se dit aussi qu'un samedi soir, y'a beaucoup trop de gens sur répondeur, mais bon, c'est la vie.

J'hésite à faire un entracte, histoire de cultiver le suspens de mon histoire. Je vous rappelle les faits : moi et mon sac à Evry, à minuit. Un JDCP™. Un train à prendre le lendemain matin pour Le Mans. Plus de batteries, sauf dans mon lecteur mp3. Pas de lit.

Chapitre 2 : l'idée

Je me suis dit que c'était une bonne idée de mettre des chapitres, comme ça vous savez quand vous pouvez prendre votre café (ou tout autre boisson). Ou si vous êtes déjà sous l'effet d'un café, allez vous dégourdir les jambes.

Mais reprenons notre histoire.

Il me fallait une idée. Les idées ça réchauffent. Et justement, je suis plein d'idées admirables et il m'en vint une griandiose (comment ça je flatte mon ego ??). Pour cette idée il me fallait les ingrédients suivants : des souvenirs de la géographie évryenne (difficulté facile : disponible chez toute personne ayant déjà eu à se poser à Evry), un concours blogosphérique où l'on fait gagner des cartes postales (difficulté moyenne : il faut connaitre l'adresse d'un bon blog), les renseignements d'un futur japonais (difficulté élevée : comme dans tout polar, il vous faut un bon indic (cet indic est désormais au Japon et je le remercie de son info)), et enfin, un appareil photo numérique (APN) (difficulté facile : un téléphone portable (avec batterie) ferait l'affaire. Difficulté élévée : il faut qu'il possède les bonnes photos).

Chapitre 3 : la solution

Je viens d'ajouter des noms aux chapitres. Ca fait plus dramatique. J'aime bien. Avant de lire la suite, finissez votre café. Si vous êtes un Hercule Poirot en herbe, chercher ce que j'ai pu faire avec ces 4 ingrédients. Sinon lisez la suite.

Et donc vint mon idée grandiose. Je me suis souvenu qu'un futur japonais m'avais donné la liste des gens susceptibles de m'héberger à Evry en ce samedi soir. Mon dévolu s'était jeté sur JD (hélas), mais les personnes précédemment appelées avant mon manque de batteries de téléphone (voir chapitre 1) ne devaient pas être loin. Je pensais notamment à Sovan. Sovan, futur japonais également. Mes souvenirs de géographie me firent traverser la rue puis, après un dédale longiligne, je me retrouvai devant la résidence du-dit Sovan. Le problème du digicode peut en général se résoudre grâce à la fonctionnalité haut-parleurs intégrée, à condition de savoir qui appeler. Quand les gens sont nommés avec le numéro de leur appart, ça corse un petit peu l'affaire. C'est là que le concours de cartes postales entre en jeu, ainsi que la bienveillance de François (indic précédemment non-nommé) et de Cannelle (anonyme de mon blog). Oui, car grâce à leur refus de réception d'une carte postale, c'est ... Sovan qui a reçu la 5e et dernière carte postale (pour comprendre ce concours de cartes postales). Comme mon APN a une facheuse tendance à prendre n'importe quoi en photo, j'avais photographié les cartes. La preuve :

On voit bien sur cette preuve le chainon manquant : le numéro de l'appartement. Je sorti donc ce fameux APN qui contenait mon salut dans cette photo prise quelques jours auparavant et donc la clé pour réveiller appeler Sovan.

Puis tout s'est bien déroulé ou presque. Dodo. Réveil. Rer. Métro. TGV qui part sans moi. TGV 1h après.

Chapitre 4 : Où des nouveaux personnages apparaissent

J'ai choisi ce titre avec soin, pour éveillé suffisamment votre curiosité sans rien révéler du tout. Vous vous en foutez, mais cette phrase permet de garder l'équilibre avec les chapitres précédents.

Après environ 45 jours d'attente, direction visitage de chez mon frère (si vous êtes étranger, ne copiez pas le style de cette phrase, ça veut rien dire). C'est là que j'ai vu un bout de chou, qui, si vous avez suivit les opus précédents, n'est autre que ma toute nouvelle et unique nièce.
Comme j'ai choisi un style policier, je fais une ellipse sur les scènes sentimentales, m'en voulez pas.

Chapitre 5 : Have a break, have a cat

Il y a une référence dans le titre de ce chapitre. Si vous ne comprenez pas, regardez (un peu) plus la télé ou écoutez plus la radio (Attention, "grignoter est mauvais pour ta santé" : c'est le genre de phrase qui accompagne désormais les pubs de friandises en France).

Pendant 3 jours, j'ai pris le temps de me reposer, de faire une procuration en vue de prochaines élections en France (y'a 2 élections d'ailleurs : présidentielles et législatives, mais je pense que je ne vous apprends rien).

Puis départ à La Rochelle (coucou La Rochelle !) pour farniente chez l'habitant. Je vais vous dévoiler une nouvelle star. Il s'agit de Yuki, chat de race rochellaise, pelage noir, pattes noires, bout du nez noir, coussinets noirs, fonds des oreilles rose et yeux verts.

Un bien agréable moment à passer. Mais un chaton d'appartement ça manque d'exercice et mes bras se souviennent encore des envies dévoreuses de ce minet (24h/24 7j/7). Mais je retournerais quand même à La Rochelle, c'était bien cool.

Chapitre 6 : des frites, une fois

J'espère juste que vous avez finalement compris l'allusion pour le titre du chapitre 5.

Après La Rochelle, direction Lille. Y'avait pas de chat, mais y'avait les beaux-arts, et surtout, ôo surtout, Bruxelles juste à côté. Hop, trip à Bruxelles une fois. Alors voici les choses à retenir :
oui, j'ai mangé des frites, mais j'ai aussi mangé une gaufre au chocolat. Oui les expos que vous voulez voir ont tendances à ne pas êtres ouvertes ou alors très mal indiquées, et même si les bruxellois sont tout disposés à vous aider à résoudre votre problème d'orientation, vous aurez tendance à toujours tomber sur des étrangers (mais qui peuvent aussi vous aider). Sinon le Quick fait payer le ketchup 40 centimes d'euros et je peux pas retirer d'argent dans les banques bruxelloises (ça ne regarde que moi apparemment).

Chapitre 7 : où les vacances prennent fin

Après avoir bien-mangé, puis vu ma nièce, re-bien-mangé, re-vu ma nièce, et re-bien-manger-encore, je suis rentré. Là tout est allé très vite. Voyage vers l'aéroport. Arrivé en avance. Voyage en avion. Arrivé en avance. Voyage en bus. Arrivé en avance. Et me voici !

Et pour finir, une petite photo de ce que je vois de ma chambre par le fenêtre. Ici aussi c'est le printemps !

Plus de photos dans l'un des articles qui va suivre. Il est caché juste ici.

PS : oui je sais j'ai écrit tout ça super vite, les phrases se tiennent pas et c'est super dur de suivre mon roman. Mais dès que je me lance dans une vraie carrière d'écrivain, je ferais plus d'efforts en me relisant.

8 commentaires:

Luthee a dit…

ehh!! tu as oublier les sms d'une quiche lorraine en pleine nuit, histoire de TE reveiler ^^

Mat a dit…

On ne peut pas tout raconter. J'ai fait des choix :D

Anonyme a dit…

a vraie dire c'est une invitation pour participer ou projet Roman public.. Plus d'info sur
www.le-roman.blogspot.com
bien ce que tu écris..Plus de commentaire la prochaine visite..
Mes salutations

Mat a dit…

Je vois que c'est un tout nouveau blog qui se prépare ici. Le tien surement.
Je vais attendre que quelques pistes d'écriture se dégagent (fantastique, policier, animalier ? ...). Puis je verrai si j'ai le temps de participer à ce projet.

Sovan a dit…

Je tenais à creer un spin-off axé sur le chapitre 3... Chapitre dont je suis l'un des principaux protagoniste:

Mon téléphone sonne, c'est Mathieu... Mais malheureusement, je ne décroche pas... Pourquoi??
Parce que mon téléphone se trouvait à plus de 700km de moi....

Ce soir là ma sonnerie retentit 2 fois...

La première fois, j'écoutais de la musique et cru entendre la sonnerie:
"Ah! Il me semble qu'on a sonné... Mouais, ça doit être mon imagination..."
Je reste donc sur mon lit en profitant tranquillement de la musique...

C'est alors qu'une deuxième sonnerie retenti...
"Ce n'est donc pas mon imagination... Qui donc peut sonner à minuit chez moi??? JD?? non, il n'aurait jamais pu égarer ses clefs et venir trouver refuge chez moi... quoique..."

Je décroche l'interphone... à ma grande surprise Mathieu me répondit. Grâce à son acharnement, (2 coups de sonneries tout de même) il a réussi à trouver un endroit où dormir convenablement...

djakk a dit…

ça doit être le plus beau JDCP de l'histoire :o

Anonyme a dit…

Ah kan la version reliée avec une belle couverture en cuir.. je vais en faire un livre de chevet! passionnant lol! En tout cas heureuse de retrouver mon blog préféré ;) (à égalité avec le tien la quiche lorraine lol :p)

Anonyme a dit…

Lire le blog en entier, pretty good